L’activité physique est utile avant un cancer, pendant un cancer, et après un cancer. Pratiquée à dose suffisante, elle réduit notamment le risque de développer cette maladie. C’est même un des facteurs modifiables de prévention comme l’alcool, le tabac ou encore l’alimentation.
Mécanisme scientifique :
L’activité physique a pour effet, au niveau cellulaire, la réduction du stress oxydatif et la libération des endorphines, lesquels effets ayant pour corollaire le contrôle de l’activité mitotique de l’ensemble des cellules.
L’activité physique a pour effet, au niveau cellulaire, la réduction du stress oxydatif et la libération des endorphines, lesquels effets ayant pour corollaire le contrôle de l’activité mitotique de l’ensemble des cellules.
Type d’exercices recommandés :
• La marche rapide par jour par périodes d’au moins 10 minutes s’il n’est pas possible de le faire en une seule fois.
• Emprunt des escaliers à la place des ascenseurs (montée- descente pendant 10’)
• Marche régulière de la maison à l’arrêt de bus, au lieu du véhicule ou moto…Aux adultes de pratiquer au moins l’équivalent de 30 minutes de marche rapide par jour ; le plus important, c’est la régularité : l’idéal est de pratiquer tous les jours.Il est conseillé de limiter les activités sédentaires (le bureau, le lit, le véhicule…) en cherchant à transpirer (brûler les graisses).
• La marche rapide par jour par périodes d’au moins 10 minutes s’il n’est pas possible de le faire en une seule fois.
• Emprunt des escaliers à la place des ascenseurs (montée- descente pendant 10’)
• Marche régulière de la maison à l’arrêt de bus, au lieu du véhicule ou moto…Aux adultes de pratiquer au moins l’équivalent de 30 minutes de marche rapide par jour ; le plus important, c’est la régularité : l’idéal est de pratiquer tous les jours.Il est conseillé de limiter les activités sédentaires (le bureau, le lit, le véhicule…) en cherchant à transpirer (brûler les graisses).
Etudes :
De nombreuses études prouvent son effet protecteur contre plusieurs cancers, notamment du côlon et du sein, qui sont parmi les plus fréquents. Les cancers de l’endomètre, du poumon, du rectum, de la prostate, de l’ovaire, de la thyroïde ou encore du pancréas sont également concernés avec des niveaux de preuve plus ou moins importants.L’effet protecteur a même été chiffré grâce à ces études:
– Le risque de développer un cancer du côlon diminue de 17 % en cas d’activité physique régulière par rapport à un état sédentaire, et celui du cancer du sein de 20 %.«Ces chiffres peuvent paraître modérés, mais compte tenu de l’incidence de ces cancers, le bénéfice est très important à l’échelle de la population, explique Raphaëlle Ancellin, au département prévention de l’Institut national du cancer. En outre, il existe un “EFFET DOSE” = plus l’activité est importante et régulière, plus l’effet protecteur est important.»
De nombreuses études prouvent son effet protecteur contre plusieurs cancers, notamment du côlon et du sein, qui sont parmi les plus fréquents. Les cancers de l’endomètre, du poumon, du rectum, de la prostate, de l’ovaire, de la thyroïde ou encore du pancréas sont également concernés avec des niveaux de preuve plus ou moins importants.L’effet protecteur a même été chiffré grâce à ces études:
– Le risque de développer un cancer du côlon diminue de 17 % en cas d’activité physique régulière par rapport à un état sédentaire, et celui du cancer du sein de 20 %.«Ces chiffres peuvent paraître modérés, mais compte tenu de l’incidence de ces cancers, le bénéfice est très important à l’échelle de la population, explique Raphaëlle Ancellin, au département prévention de l’Institut national du cancer. En outre, il existe un “EFFET DOSE” = plus l’activité est importante et régulière, plus l’effet protecteur est important.»
Recommandations :
30’/jour // la semaine. Compléter vos 30 minutes d’activité quotidienne par 1 heure d’exercice plus soutenu le week-end.
Par Jean Luc Kazadi.
